En traversant le Pô, à Plaisance, une seule barque, nouvellement peinte, portant une espèce de pavillon impérial, frappa nos regards; deux ou trois dragons, en veste et en bonnet de police, faisaient boire leur chevaux; nous entrions dans les états de Marie-Louise: c'est tout qui restait de la puissance de l'homme qui fendit les rocher du Simplon, planta ses drapeaux sur les capitales de l'Europe, releva l'Italie prosternée depuis tant de siècles.
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